Il y a une logique ici. Des annonceurs américains qui peuvent difficilement tourner le dos au "copain" du président, mais je pense que c'est plus profond. En effet, rien qu'au niveau français, dans toutes les actus, on fait référence au compte X de tel ou tel politique. Où sont les Bluesky ? Les Threads ou les Mastodon ? Nulle part. Et de la même manière que les annonceurs reviennent, ils seront nombreux à relancer leur compte Twitter. Finalement ce sont qui ont eu le "courage" de ne pas partir, qui "sauveront l'honneur". Cela fait beaucoup de guillemets car on comprendra qu'il ne s'agit ni d'honneur ni de courage mais d'audience et de calcul.
Et ce n'est pas le Gorafi. Cela montre quand même qu'aux États-Unis c'est vraiment un droit inaliénable au point de tomber dans l'absurdité la plus totale.
On note tout de même le ridicule de la chose. Trump a annoncé son intention de maintenir le réseau ouvert, celui-ci va donc fermer pour quelques heures. De l'argent, du temps, jeté en l'air sans régler le problème de fond qui tient à cœur au gouvernement américain quant à l'espionnage réalisé par l'application. J'attends tout de même avec une certainement forme de curiosité le dénouement de cette affaire et si on aura vraiment un black out total.
Il s'agit ici d'un exemple typique du problème français. Un parmi d'autres, l'efficacité en est un autre. Non seulement un fauteuil à 34000€ c'est indécent parce que c'est le prix d'une bonne voiture mais c'est surtout considérer qu'on peut se le permettre avec l'argent du contribuable. Si on met bout à bout cet argent jeté en l'air il n'y a pas de quoi sauver le pays. Mais si on change radicalement de mentalité, une vision plus saine de l'utilisation des finances publiques, il y a peut-être quelque chose à faire.
Dans d'autres pays, ça aurait tourné au scandale politique et à la démission, mais comprenez que chez nous…
Un joli cadeau de papa avant d'aller à la maison de retraite. Comme quoi, quand on critique le tous pourris dans nos politiques françaises, il suffit de tourner la tête chez nos voisins pour se rendre compte que l'intégrité c'est pas mieux chez les autres.
Quand on voit qu'on cherche des économies "au million", pas besoin d'aller chercher bien loin pour réaliser qu'on utilise les fonds publics n'importe comment. La dureté vers laquelle on va, si elle peut s'entendre, doit être partagée par tous. Mais avant de nous sucer jusqu'à l'os, il serait certainement temps de se pencher sur l'efficacité de nos services publics, d'avoir de véritables audits pour savoir ce qu'on fait vraiment de l'argent.
Encore heureux qu'il y a encore des journalistes en France, même si pour cela il faut fouiller dans les poubelles. Extrême droite, extrême gauche, quel que soit le bord, on comprend que politicien c'est un job comme un autre, avec une paye intéressante et des avantages. On sera certainement ravi de savoir que l'argent du contribuable a financé la drogue d'un élu. Un très bon job, indiscutablement.
Le lobby de la corrida quand même reste franchement puissant en France. L'interdiction au moins de 16 ans paraîtrait la base du bon sens. On va donc interdire un film d'horreur qui reste une fiction et autoriser un vrai spectacle de boucherie à des gosses de 8 ans parce qu'il est important de privilégier les moments en famille. Cela en serait presque risible. Cela me fait penser aux buralistes qui se plaignent du manque de fumeurs. Une économie basée sur le cancer et la dépendance des gens, ce n'est pas grave, ce qui compte c'est sauver son business. Alors si effectivement, on peut comprendre que la reconversion est difficile, car il ne s'agit que de cela, gagner de l'argent, il faut savoir reconnaitre quand son activité est néfaste.
On aura beau m'expliquer la tradition et le reste, tuer un animal dans une arène n'est pas une bonne tradition. Ce n'est pas bien du tout.
On me dit dans l'oreillette que les jeux olympiques sont terminés !
C'est un peu le problème de voter des gens aux extrêmes. Les femmes qui ont voté Trump ont certainement voté le candidat contre l'immigration, elles ont oublié qu'il en avait aussi contre les femmes. C'est l'erreur de croire que l'autre sera visé et que tout ira bien. On est tous l'autre de quelqu'un.
J'aime beaucoup le raisonnement qui pense qu'il nous faut davantage de pouvoir d'achat pour acheter des gadgets qui ne servent absolument à rien. En France, on a tendance à penser que tout n'est qu'une question de temps passé au travail. Le présentéisme n'est pas synonyme de productivité ou d'efficacité.
Une décision courageuse du Guardian. Combien d'autres vont emboiter le pas ? Et puis la question c'est pour aller où ?
Pas facile de faire comprendre au français de base qu'il faut apprendre à se serrer la ceinture. La prochaine taxe en préparation qui tapera dans les propriétaires, les locataires, je serais curieux de savoir comment justifier cette taxe à part dire qu'on est fauché et qu'on a besoin d'argent.
Je ne suis personnellement pas surpris par la décision ni choqué. Sans mettre en doute la qualité, le civisme, ce qu'on veut des développeurs Russes, il s'agit tout de même d'un pays qui n'est pas une démocratie. Un coup de pression sur un développeur pour qu'il mette une cochonnerie dans le noyau, il vaut mieux éviter. Je pense que n'importe qui, même les développeurs Russes, doivent comprendre.
Un article de plus qui rappelle que la DINUM à savoir l'organisme qui donne les directives quant aux logiciels à utiliser, fait totalement fausse route. On utilise des logiciels maisons au lieu d'appuyer à fond sur les logiciels libres et de prendre une partie de l'argent et des ressources pour les investir dans ces mêmes logiciels libres. Malheureusement, on n'oubliera pas que c'est une histoire de gros sous et que des sociétés de prestation informatique se gavent sur l'argent public dans le déni complet du bon sens. Si on commençait à imposer LibreOffice partout, ne serait ce que pour commencer, on gagnerait financièrement et en cohérence d'utilisation.
C'est tellement énorme que ça pourrait être drôle. Malheureusement, on sait pertinemment que c'est faux quand on a deux neurones, ce n'est peut-être pas le cas de tous les électeurs américains. On peut se consoler en se disant qu'ils n'arriveront pas à reconnaître un drapeau communiste ...
Je trouve que les images sont intéressantes. Le blogueur explique que changer pour faire n'importe quoi, ce n'est pas un changement, c'est n'importe quoi. En effet, on peut avoir essayé de nombreux produits pour déboucher son évier mais avoir le bon sens de ne pas utiliser de la dynamite.
Où l'on oublie que les routes ne se sont pas construites seules et l'on oublie encore que les fruits et légumes bien français sont récoltés par des gens pas vraiment français. On pourrait aussi parler des médecins ou de la pénurie de main d'œuvre dans certains domaines que personne de bien français ne veut faire. C'est bien la problématique de la politique, on vote pour des gens, un programme et le package est bien complet, on ne fait pas le tri.
La carte de la honte recense les paroles racistes, homophobes, antisémites ou encore contre le droit des femmes qu'on a tendance à oublier. Dans leur colère, les gens oublient que personne n'échappe à la haine. Certains propos sont surréalistes et font penser aux heures les plus sombres de l'humanité.
L'article se focalise uniquement sur les solutions techniques et oublie totalement l'aspect humain. Le bon père de famille qui fait régner l'ordre et la rigueur à domicile, c'est le même qui expliquera qui voter à tout membre de sa famille en âge de le faire. Dans l'isoloir, vous êtes seul, et c'est sans aucune pression que vous pouvez voter en votre âme et conscience. Il faut que les citoyens puissent se déplacer s'ils sont en mesure de le faire.