Ce n'est pas la première fois qu'on voit ce type d'images et ce n'est pas la première fois que l'arbitrage cassant, implacable, applique la règle, car c'est important la règle. Sauf qu'en 2024, je n'aimerais pas être les juges. Le lynchage sur les réseaux sociaux ne va certainement pas pardonner.
Encore un épisode indispensable sur le sport féminin et voir ce qu'on a fait et qu'on fait subir aux femmes pour vérifier qu'elles le sont bien. C'est assez surprenant qu'on autorise des tests de féminité sur des gamines de 16 ans… Le propos quant aux athlètes transphobes est particulièrement intéressant, à savoir qu'on ne s'est jamais autant intéressé au sport féminin depuis qu'on voit des sportifs trans qui représentent une toute petite minorité des sportifs. Preuve que derrière cet intérêt, c'est de la transphobie pure et dure.
Une canette de Coca-Cola de 33 cl contient 7 morceaux de sucre. Je pense que tout est dit. À l'instar de pouvoir nager dans la Seine ou utiliser des bouteilles en plastique pour remplir des verres, on marche complètement sur la tête. Je pense que le bilan carbone des JO ainsi que la facture, ne doivent pas être terribles à la sortie. Enfin bon, des jeux pour le peuple…
Je reste toujours circonspect face à ce genre d'annonce. On explique aux français qu'il va falloir faire des efforts, qu'il faut se serrer la ceinture, mais on a les moyens d'organiser des jeux dans un contexte économique tendu et un contexte climatique qui devrait reléguer les jeux d'hiver au passé. On pourrait dire que les retombées économiques pour le pays sont importantes, ici encore, je reste perplexe. Une baisse de fréquentation de 20% pour l'ensemble des restaurateurs parisiens, je n'ai vraiment pas l'impression que les jeux rapportent plus que ce qu'ils ne coûtent.