ChromeOS serait amené à disparaître dans une fusion entre Android et le dit ChromeOS. Les pistes vers un système d'exploitation qui serait un mélange des deux, utilisable notamment sur un ordinateur portable traditionnel, un système adaptable comme voulait l'être Ubuntu Edge à l'époque (salut à tous les vieux qui ont la ref), serait le bienvenu. Cela pose toutefois quelques interrogations quant à ce que pourrait devenir ChromeOS Flex, le rachat de CloudReady par Google. Souvenez-vous encore, il s'agissait de la possibilité de remplacer votre Windows fatigué par un rutilant système Chrome OS avec quelques bémols dont l'absence d'applications Android. Cela laisse aussi perplexe quant à toutes les machines existantes actuellement sur ChromeOS et leur devenir.
La moralité de l'histoire connaissant Google. C'est que, un, il y a de fortes chances pour ChromeOS Flex rejoigne le cimetière des applications Google. En effet, faire tourner Android sur du vieil X86 c'est pas gagné, même si certains le font, ou le faisaient puisqu'Android-X86 n'a pas l'air d'avoir évolué depuis 2022 pour un système qui marchait mal. Deux, je n'irai pas investir dans un appareil ChromeOS dans les prochaines années. Enfin trois, l'article, explique que les jeunes se tournent vers de l'Apple d'occasion, j'ai envie de dire que pas le même budget, ni le même usage, je pense que les gens n'achètent pas car les machines ne donnent pas satisfaction.
Ce qui est sûr, c'est que ces manœuvres qui n'inspirent pas la confiance vont favoriser les systèmes Linux et Windows. Quelqu'un prêt à acheter un système atypique sera peut-être enclin à sortir des sentiers battus.
Je rejoins totalement l'analyse de Pierre. Microsoft joue à se faire peur. Mais avec un Windows 10 à plus de 60% d'utilisateurs, on comprend bien qu'il faut faire peur mais pas trop. La fin du support de Windows 10 est prévue en octobre 2025, je ne pense pas que les gens réagissent sous le légendaire théorème de "tant que ça fonctionne" quelle que soit la menace qui apparaît. Quand je sais que j'ai encore des utilisateurs de Microsoft Office 2007 pour ne pas utiliser LibreOffice, rien ne m'étonne.
Encore un moment mémorable en informatique. En fait, j'ai deux ordinateurs portables. Un X230 avec 8 Go de RAM, i5 et j'en passe, et un chromebook que j'avais reconverti en PC Linux. Il y a quelques articles assez pertinents sur restez-curieux. Il se trouve que paradoxalement, alors que la machine est moins efficace, j'ai tendance à utiliser le vieux chromebook, que je trouve plus léger, plus design. J'ai installé Q4OS qui est une distribution que j'apprécie. J'ai voulu faire un essai d'installation de Windows 11 sur cet appareil, donc le CPU est un i5 de troisième génération, pour voir ce que ça donne. J'ai en effet quelques collègues qui ont la même machine que moi, et avec l'arrêt de Windows 10, j'attends les demandes.
Il se trouve que cette machine sur laquelle il y avait Linux Mint, je ne m'étais pas rendu compte que le bios était verrouillé. La machine, professionnelle, ne peut pas se contenter d'un simple retrait de la pile, l'information est stockée dans une puce. Il faut retirer le clavier, localiser la puce et mettre un bout de métal entre les deux premières broches métalliques. C'est assez terrible, ça fonctionne.
J'ai créé une clé USB avec Rufus qui fait sauter les protections et en basculant le bios en secure boot avec l'UEFI, j'ai pu procéder à l'installation. Reste à voir la vélocité de la machine.
Microsoft après avoir fait des caisses avec la protection, les exigences, laisse finalement l'installation de Windows 11 sur n'importe quel poste en se dédouanant de la prise de risque que prend le consommateur. Microsoft qui en fin de compte préfère mieux cette situation que pousser les gens à réfléchir à changer de système d'exploitation. J'attends de voir comment ça va se présenter de façon plus ou moins automatique sur les ordinateurs Windows 10.
Une nouvelle possibilité d'installation de Windows 11 au lieu de Rufus, avec la possibilité de faire migrer un poste de Windows 10 vers Windows 11
Quand le blog du modérateur se lance dans Zdnet, voici un article bien fade. Tout le monde n'a pas le talent de Zdnet pour faire des articles de mauvaise qualité. Ici on se contente d'enfoncer les portes ouvertes. Pourquoi cet article ne sert à rien, car on arrive pas à Linux par hasard, et quand on cherche un peu, on n'ira pas se baser sur un article qui vulgarise aussi fort.
Zdnet continue de nous livrer ses articles de mauvaise qualité. On élude toute la partie sur le jeu, les logiciels qui sont tout de même une préoccupation pour l'utilisateur. Je ne pense pas que ce type d'article fonctionne, aller sous Linux, c'est une démarche, il faut en être pour apprécier la différence et parfois souffrir des différences. Je ne maintiens le dual boot que pour le jeu, sinon Windows est totalement inutile.
Je pense qu'on n'a pas encore conscience de l'impact qu'aura cette situation tant qu'on n'aura pas l'arrêt de Windows 10. Concrètement, quand les gens vont se retrouver avec un message sur leur Windows 10 en leur expliquant que leur ordinateur est obsolète et qu'ils vont devoir passer à une nouvelle machine, ça va peut-être commencer à réfléchir dans les chaumières. Windows 11 présente quand même de nombreux désavantages comme les publicités ou encore l'obligation de création de compte en ligne ou presque.
Et puis je pense que ça va plus loin. Windows 12 sera le système d'exploitation de l'intelligence artificielle dont on ne veut pas quand on se réfère aux analyses marketing. Les avantages de l'IA ne sont pas palpables pour l'instant pour les gens "normaux" pour qui l'IA c'est le bot qui va remplacer un humain bien palpable avec qui on peut échanger.
Si l'argument de la vie privée n'a pas fonctionné pour Linux, peut-être qu'une machine plus simple sur qui on a le contrôle fera la différence.
Je reste toujours perplexe face aux statistiques surtout de ce type. Ce qui est certain, c'est que Microsoft ou Google ne se rendent pas service. Regrettable aussi, comme je le l'écrivais dans un article, que les publications françaises autour de Linux soient beaucoup moins présentes pour accueillir les gens qui voudraient assurer une migration.
Sans surprise, difficile d'enterrer Windows 11 quand Windows 10 domine le marché pour présenter un Windows 12. Cela fait déjà un moment que le système d'exploitation n'est plus un événement. Je parle de temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, mais la sortie de Windows Vista par exemple, c'était un événement télévisé, retransmis à travers le monde. Buzzer avec un système d'exploitation, c'est certainement fini… ou pas. La prochaine génération de système d'exploitation intègrera certainement des intelligences artificielles pour enfin faire de l'informatique ce qu'il doit être : un facilitateur. On peut imaginer alors un tri automatique de vos photos ou des réponses à certains de vos courriers électroniques avec une IA qui vous connaît mieux que personne (SIC !)
Je viens de récupérer la configuration de mon fils qui est plus puissante que la mienne. On passe d'une GTX 1650 à une RTX 3060. Pour changer de configuration c'est assez simple, j'ai démonté mes deux SSD et j'ai remplacé dans la nouvelle machine. Pour Windows 11 aucun problème de reconnaissance matérielle. À noter qu'avec une clé du marché gris et un violent changement de configuration puisqu'il s'agit de carte mère et processeur, il ne m'a pas demandé d'acheter une nouvelle clé. Pour Linux, la situation a été plus compliquée pour le pilote Nvidia. A la réinstallation du pilote, c'est la première fois qu'il me le demande, un mot de passe pour le secure boot indispensable au fonctionnement de Windows 11. On arrive au reboot à un écran bleu dans lequel on doit retaper le code. Si on ne le fait pas, le pilote Nvidia ne se charge pas au démarrage.
Windows 11 ne perce pas pour les raisons évoquées par l'article, par contre, il oublie de rappeler que l'avenir de l'informatique personnelle du côté de Redmond ne va pas vendre du rêve. Les prochains ordinateurs seront des machines dopées à l'IA avec des puces spécifiques. Et forcément je pense que cela ne va plus être le même tarif. Windows 11 changeait la donne en imposant un matériel "récent" pour avoir la nouvelle version, il y a fort à parier que le prochain Windows demandera 16 Go minimum de RAM, comprendre donc 32 pour fonctionner et de gros processeurs pour fonctionner correctement.
Tout ça pour une IA dont on peine à voir les utilisations quotidiennes. On espère que les gens se retourneront vers un Linux suffisant pour répondre à des utilisations basiques et qui nécessitent des machines modestes, plus dans l'air du temps.
Ce n'est tout de même pas anecdotique, c'est la première fois que Microsoft va réellement mettre des bâtons dans les roues de ceux qui ont contourné le système. Personnellement, je pense que Microsoft devrait aller plus loin en empêchant les machines de booter pour celles qui ont déjà fait le contournement par Rufus. Cela donnerait un peu de courage à tout le monde. À Microsoft pour expliquer que ses conditions sécuritaires ne sont pas du vent, aux utilisateurs de Windows 11 sur des PC non compatibles à choisir leur camp. Acheter une nouvelle machine ou passer à Linux.
Parmi les choses insupportables de Windows 11, le changement du copier couper coller par des icônes. C'est un non sens le plus complet sachant que le reste est totalement textuel. Je me suis rendu compte que ça va plus loin avec l'installation de 7zip. Désormais, Windows prend en charge la décompression des rar, mais mal. 7zip conserve son sens. Sauf que le menu contextuel cache l'option 7zip dans un menu supplémentaire. Pour revenir à la normale, et par le fait retirer les icônes et pouvoir décompresser directement depuis 7zip, Malekal propose plusieurs astuces. J'ai installé pour ma part le tweaker graphique au cas où je devrais modifier d'autres choses.
Il va devenir urgent que Valve, un autre acteur développe activement sous Linux pour le jeu ou tout simplement que la fibre optique se généralise pour jouer en streaming. En effet, on voit s'orienter dans la stratégie de Microsoft une offre à la Office 365. Lorsque vous payez un ordinateur, vous payez un Windows, Microsoft gagne de l'argent une seule fois. Avec un abonnement, c'est une rente qui tombe. Il faudra toutefois faire passer la pilule au consommateur qu'il va devoir payer pour utiliser son ordinateur.
Pour l'heure, on sent que les gens ne sont pas attirés par la nouveauté. En effet, Windows 11 ne décolle pas, et Windows 10 reste largement majoritaire alors que son support prend fin en 2024. Même si Linux ne décolle pas, il progresse gentiment.
On sait que ce n'est pas l'année du bureau Linux, mais quand on voit que la Chine réussit à se passer d'Android pour promouvoir son système, l'alternative existe, il suffirait de pas grand-chose. Un cumul d'erreurs de Microsoft par exemple.
240 millions d'ordinateurs jetés par leur propriétaire, ce n'est pas tant le nombre qui me gêne, mais la notion de jeter. En fait, les propriétaires ne vont pas jeter les ordinateurs mais certainement continuer à les utiliser sous Windows 10 sans se préoccuper des différentes failles de sécurité. Bien sûr, on pourrait imaginer des migrations vers Linux, mais les utilisateurs ne sont pas encore prêts. Le seront-ils un jour ?
Si l'information était confirmée cela voudrait dire que Microsoft va faire cohabiter trois systèmes d'exploitation en même temps. C'est une hérésie. Windows 10 dont la fin du support est prévue pour 2025 mais qui pourrait être retardée car les usagers boudent Windows 11. Windows 12, c'est vraiment le cheveu sur la soupe.
La politique de Microsoft avec Windows est catastrophique. Depuis des années, on constate qu'une version sur deux de Windows est mauvaise. Avec un Windows 10 annoncé comme étant le dernier on aurait pu penser que Microsoft a compris la leçon. Ce n'est donc pas le cas. Pire, les changements de spécifications, avec une imposition de mettre des machines "modernes" à la casse, vont totalement contre l'air du temps. En fin de compte, que reste-t-il à Windows ? Le jeu. C'est le dernier bastion qui fait tenir l'entreprise. Avec la généralisation de la fibre optique (malheureusement pas assez vite !), le jeu en streaming va complètement casser la donne. Comme on a vu la disparition du jeu physique, on verra la disparition du jeu installé au local.
ls -file | % {&"C:\Program Files\LibreOffice\program\soffice.exe" --headless -convert-to pdf $_.fullname}
Pour jouer, je maintiens une partition sous Windows 10 que je partage avec Linux. Cette partition est en NTFS. Il apparaît qu'à chaque reboot depuis Windows, la partition était en lecture seule depuis Linux. Il semblerait que le problème soit connu mais pas résolu de façon simple.
Sous Windows, lancer une commande en mode administrateur et saisir la commande : powercfg /h off
À surveiller si sur une mise à jour, ça ne fait pas sauter l'astuce.