On connait la réponse, il ne faut pas y aller. On va ressortir la phrase de Coluche qui reste de circonstance "Quand on pense qu'il suffirait que les gens n'achètent plus pour que ça ne se vende pas !". Je serais tout de même curieux de savoir comment justifier la bouteille d'Évian de 1 L à 12€ vendue à 0.53 € / L. Après, comme certains le font remarquer, si c'est noté de façon claire, c'est à la responsabilité du consommateur qui doit tout de même imaginer que sur la plus belle avenue du monde, les prix sont plus élevés.
Assez impressionnant, le pouvoir de la plante est tellement important qu'il peut atténuer le pouvoir des médicaments dont la pilule. Moralité, à force de faire un super régime détox, des femmes se sont retrouvées enceinte car la pilule contraceptive était inhibée par le millepertuis.
Les bons conseils santé pour se déglinguer pendant les fêtes et repartir de bons pieds au prochain coup. Typiquement une société qui va bien, pendant que d'autres crèvent de faim, d'autres crèvent d'obésité.
Je crois qu'on peut se féliciter d'avoir des millions de Français qui jettent de l'argent par les fenêtres pour une fête obligatoire.
Ce que ne dit pas l'article, c'est ce qui est fait avec tous ses vêtements qualifiés de déchet et éventuellement ce qu'on peut faire avec.
La famille Mulliez est propriétaire de Midas, Decathlon, Auchan, Leroy Merlin ou encore Boulanger. Quand on sait que ça va très mal chez Auchan, qu'il y a du licenciement dans l'air, ce même Auchan qui va fermer des magasins alors qu'il vient d'acheter des magasins Casino qui va encore plus mal, on s'interroge sur la manière de faire des affaires en France. J'espère que le gouvernement va enfin se mettre à taxer le capital, parce que là, c'est franchement indécent.
VRAI OU FAUX. Black Friday : derrière les promesses de prix cassés, des promotions qui sont gonflées
Le black friday comme on peut s'en doute, c'est du flan. Le mieux étant comme toujours de n'acheter que ce dont on a vraiment besoin. C'est certainement la meilleure manière de faire des économies plutôt que d'encombrer ses placards.
Le propos est très intéressant, et j'en rajoute un de plus : un égoïsme profond. Parler avec quelqu'un au téléphone, c'est avoir son attention, dédier le moment à la personne pour pouvoir suivre la conversation. C'est un effort que ne veulent plus faire les jeunes mais les gens de façon générale. On a toujours mieux à faire.
Je me félicite de ne pas arpenter les rayons biscuits des magasins, je ne m'en étais pas rendu compte.
La taxe soda n'aura pas lieu. Il vaut mieux soigner les maladies, l'obésité, que de monter le prix qui doit tuer autant que la cigarette.
On nous dit régulièrement que les jeunes sont beaucoup plus sensibles à l'écologie, j'ai quand même quelques doutes. Si pour Temu, je vois tout le monde acheter dessus pour du tout et du n'importe quoi sans s'interroger sur la qualité des produits, pour Shein ce sont principalement les jeunes que je vois autour de moi qui font le plein. Preuve en est qu'on n'a absolument pas de réflexion sur la fast fashion et sur les produits de mauvaise qualité.
Il est important de rappeler que ce que vous achetez de virtuel ne vous appartient pas vraiment ou pour un temps seulement.
J'aime beaucoup la conclusion : « Ce sont des choix de société qui sont faits sans nous, on n’a aucune voix au chapitre. ». Et le problème, c'est que c'est vrai pour de plus en plus de choses. Le choix devient de plus en plus rare pour tout un tas de critère. Imposition de l'état, facilité, quelque chose qui tacitement devient la norme et j'en passe. Et le problème, c'est que souvent, on se rend compte que ces impositions ne sont pas forcément pour notre bien. Le smartphone obligatoire pour tout et n'importe quoi, c'est un problème, que des solutions simples ne soient pas mises en place est inacceptable sur le principe, très acceptable malheureusement au quotidien.
Si effectivement l'artisan boucher plaide pour sa paroisse, le constat qui consiste à dire que c'est moins cher d'aller chez son boucher est certainement fondé. Dernièrement, on voyait l'effondrement des ventes de salades en sachet. Non seulement c'est mauvais, mais c'est deux fois moins cher d'aller chercher une salade au marché.
Il n'y a pas que des entrepreneurs dont il faut se méfier, nos habitudes de consommation que nous ne remettons pas en question ne nous aident pas.
En 2004, Kool Shen rappait "Il faut qu'il y en ait qui crèvent de faim et d'autres d'obésité". Comme on peut le voir, on est en toujours là. La conclusion de l'article rappelle que nous sommes de plus en plus gros.
D'après l'article, seulement 3% des vêtements sont réutilisés en tant que vêtements sur le sol national. Plus de 55% sont envoyés à l'étranger. En fin de compte, cela laisse perplexe sur ce qu'on peut/doit faire de nos vieux vêtements, je pense que le mieux c'est encore de limiter les achats ou de s'orienter vers la croix rouge qui revend pour une misère à des gens qui sont vraiment dans le besoin.
La facturation de 8€ s'entend mais ce qui me paraît peut-être plus important et qui n'apparaît pas dans l'article, c'est la réflexion sur la quantité. À chaque fois que je vais au restaurant, j'ai l'impression que les assiettes sont pleines à craquer et j'ai du mal à finir. On note d'ailleurs que certains restaurants iraient jusqu'à facturer les assiettes non finies quand d'autres pratiquent plus "légitimement" le doggy bag (qui a envie de repartir avec les restes d'une pizza froide ?).
Alors pourquoi ne pas baisser les tarifs et proposer des portions moins abondantes et facturer éventuellement du rabe pour qui a vraiment faim. On éviterait de voir des quantités de nourritures jetées à la poubelle et des gens se casser le ventre pour finir leurs assiettes.
C'est une affaire que je trouve tout de même embarrassante. Si on fait abstraction des 300€, le locataire juge pour le propriétaire qu'il doit accepter la tâche et par le fait la dégradation du meuble. Je trouve que c'est un peu simple comme raisonnement, tout comme expliquer que les propriétaires se gavent. On peut supposer que pour toute location, on doit tenir compte d'une usure dite "naturelle". Reste à savoir où se situe la vérité.
Je trouve toutefois regrettable que le buzz engendré par Twitter fasse infléchir la balance dans le sens de celui qui gueule le plus. Dernièrement, on a pu voir un tweet sur une amende de la SNCF. Sauf que l'émetteur, c'est le Directeur de France 3 Bourgogne Franche Comté si bien qu'en gueulant plus fort que les autres, il a eu gain de cause.
Comme quoi Twitter continue d'avoir sa force de frappe.
Zdnet fait partie des sites dont j'ai encore du mal à me passer, ça ne devrait plus tarder tant la qualité des articles est quand même discutable. Le seul article qu'il devrait y avoir sur Temu c'est d'indiquer que c'est de la mauvaise qualité, que c'est encore détruire des ressources pour de la consommation impulsive. Peut-être un jour un véritable article sur le reconditionné, sur Linux sans distribution exotique.
Il ne s'agit pas de faire de la pub pour mon village, mais d'expliquer un peu le contexte. Le restaurant le "Billy" pendant des années a figuré dans les plus mauvaises adresses de Saint-Pierre. Il s'agissait pourtant de la plus belle terrasse mais aussi de la plus grande. Le gigantisme, c'est terminé et pour remplir une terrasse de 1000 m² dans une station balnéaire, ce n'est plus possible. Le gars qui a racheté ça a eu une idée simple. Un bar central et des food trucks sur les côtés. La nourriture est excellente, pas cher et rappelle l'ambiance dans les villages de l'arrière-pays.
Ce que je trouve assez génial ici, c'est qu'il n'y avait pas beaucoup d'options. Casser le restaurant en trois cellules différentes ou ce concept qui fonctionne super bien. Avec une bonne idée qui n'invente rien tout de même, on arrive à transformer un échec cuisant en véritable succès commercial, ce qui prouve que tout n'est pas perdu en 2024.