Dans un dernier article j'évoquais le paradoxe français, trop d'écran mais pas assez. Ici la ministre de l'éducation nationale fait la distinction entre les bons écrans et les mauvais écrans. Le côté "préparer au monde de demain" avec des tablettes confirme ce que j'écris régulièrement, à savoir le problème de compétence de nos dirigeants. Les tablettes qui devaient enterrer le PC ne font que s'enterrer elles-mêmes. Quant au recrutement des enseignants, avec l'état qui cherche à faire des milliards d'économies, on peut se dire qu'il s'agit de paroles en l'air, ici encore qui manquent de réflexion. Avec une baisse du nombre d'enfants, faut-il encore faire le calcul du recrutement sur le long terme ? Le niveau ne cesse de baisser et faire des classes de 20 élèves ne règlera pas les problèmes.
609 shaares